sur la route
“Au parfum de son maquis, de loin, les yeux fermés je reconnaîtrais la Corse.”
Napoléon Bonaparte
Osani,
havre de paix et de nature niché sur une colline à mi chemin entre le golf de Girolata et le golf de Porto.

Portrait d"Audrey
Photographie: Stéphanie Rebeccu

Perdue quelque part entre les montagnes et la mer, la villa semblait hors du temps. Là-bas, à Serriera, tout respirait la liberté sauvage : les cigales, le vent chaud chargé d'odeurs de myrte, de ciste et d’immortelles, et ce silence si particulier des lieux reculés, seulement brisé par le clapotis de l’eau ou le chant d’un oiseau.
La piscine, bordée de pierres chauffées par le soleil, se mêlait au paysage comme une oasis secrète. C’est là que tout a commencé. Des jeux de lumière sur la peau, des étoffes flottant dans l’eau, des regards portés vers l’horizon. Chaque cliché s’est imprégné de l’éclat brûlant de l’été, comme si le soleil avait lui-même posé ses doigts sur les images.
Plus bas, la mer attendait. Transparente, douce, infinie. Nous avons suivi un sentier parmi les rochers et les arbustes piquants, jusqu’à ce que la terre s’efface et que seule l’eau subsiste. Là, les corps ont dansé entre deux vagues, portés par la houle légère. Tout était là : le sel sur la peau, les cheveux emmêlés, la sensation de flotter entre rêve et réalité.

Social networks: | Instagram |

© All Right Reserved. Laboutiquemedia.fr

Made on
Tilda